Maskenpierre [plusieurs métiers]

Bonjour les foodiens, alors aujourd'hui je vais vous raconter l'histoire de Fifi, la petite sourie !
*Evite une tomate*

Bon alors, finalement je vais plutôt vous conter mon histoire..

Le temps s'égrenne petit à petit mais les légendes restent. Chacun y rajoute son grain de sable et aide à l'entretien du sablier temporel.
Mon père répètait sans cesse cette phrase lorsqu'il avait fini de nous conter la légende de la poupée perdue et du gardien des masques.
Je n'aurais jamais pensé que cette légende était vraie..


Lors de mes jeunes années, mon père décéda. Il avait élevé 3 enfants seul, Mon frère était parti sur un navire pirate et ma soeur sur frigost comme serveuse.
Moi, agé de 12ans était resté sur notre île. Volant quelques vivres par-ci par-là, je m'en sortais tant bien que mal. L'hiver était chaud, l'été aussi.
Des fois je n'avais rien sous la dent et faisais le tour du marché, le marchand de fourchettes, le boulanger, le trappeur et le bijoutier.
Un jour, je remarquais un stand particulier, je ne l'avais jamais vu ici, en m'approchant je remarquais que le vendeur troquait des masques à des prix hallucinnants !
De ma vie je n'avais jamais vu tant d'or ! Devant mes yeux luisant et ma bouche béante la marchand me sourit et m'expliqua que ces masques étaient très spéciaux !
qu'ils avaient étais taillé dans je ne sais quel bois magique, ou trempé dans je ne sais quel elixir de charlatan.

La seule chose que j'en retenais était qu'en volant plusieurs masques comme ceux-ci, je pourrais manger un vrai repas et prendre le bateau pour amakna.
Je dû rester debout, perdu dans mes pensées devant le marchand durant plusieurs minutes quand un voleur masqué, un tourmenteur, ou une arme s'y apparentant
pointa son arme destructrice vers le marchand, la minute qui suivi me paru une éternité. Je le vis appuyer sur le déclencheur, je vis le regard du marchand
se vider de toute humanité avant que l'explosion ait lieu. Puis d'un coup d'un seul, le temps semblait figé, mon coeur battait à la vitesse d'une dragodinde sauvage,
je vis, à travers la fumée, les masques, posés, l'un, rouge, armé d'un sourire sadique laissant apparaitre de longues dents acérées, celui au dessus, simple,
blafard et sans expression faisait contraste avec le troisième, de grands yeux, une forme éfilée et une bouche ronde.
Sans hésitation je pris les 3 masques et m'enfuyais à toute jambes.


Quand je fus hors de danger mon instinct me disais de ne pas les vendre, mon intuition me faisait penser que s'ils étaient magiques ils pourraient me protéger.

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quelques années plus tard. Ne m'étant ni décidé à utiliser les masques ni à les vendre ils étaient bien au chaud dans ma chambres sous les charpentes d'une auberge
dont le tavernier avait bien voulu m'heberger en échange de services.

Le jour où j'ai tout quitté.

Un soir, le lendemain de mes 19ans précisément, 5 hommes arrivèrent dans la taverne, ils prirent place au comptoir et sans lever les yeux je leur servi des bières
en leur souhaitant une agréable soirée et tout le baratin habituel sur les Api-Aoueur...
Pendant que je nettoyais les choppes je surpris leur conversation qui ne fit qu'un tour dans ma tête.

-Tu pense qu'ils sont ici ?
-C'est certain ! Il en restait trois sur l'étal et j'ai passé les 7 dernières années à chercher ces masques !
-Je vous promets les mecs que je vais bien finir par retrouver le fils de bwork qui les a dérobé durant mon casse.
-J'ai apporté le snouffle. Il va nous flairer la magie contenue dans les masque !

Mon sang se glaça et je restais figé, sans même pouvoir réfléchir. Je levais les yeux et vis les Roublards lâcher le snouffle qui se mit à flairer en direction
de la cuisine.
Ils se regardèrent et s'écrièrent ensembles, "L'aubergiste".
Puis ils chuchotèrent

-Nous reviendrons ce soir, après la fermeture, on pourras récupérer le butin et saigner cet aubergiste comme un cochon de lait.


Ayant entendu la conversation, à la fin du service je m'eclipsais dans ma chambre et rassembla le peu de mes biens personnels.
Je pris une bourse de kamas, quelques vêtements et les masques, enveloppés dans un vieux tissus poussiéreux et abîmé.
J'avais réfléchis et conclu que la meilleure façon de gagner du temps dans ma fuite était de ne pas avertir Halirof, l'aubergiste.
Les roublards passeraient plus de temps à l'interroger et fouiller la taverne.
Ma décision était cruelle mais il y avait bien longtemps que je ne vivais plus que pour moi-même.

Je m'éloignais dans la nuit, sans bruit tel un ecaflip.
Arrivé au bateau je payais l'embarquation vers amakna avec le peu d'argent que j'avais.


Le bateau sorti la grand voile et glissa sous le vent, arrivé en pleine mer je montais sur le pont et m'asseyant sur le bastingage j'observais l'horizon,
la nuit était calme et seul le clapotis de l'eau sur la coque accompagnait le reflet de la lune la platitude silencieuse de l'océan.
Ouvrant mon sac, je pris le masque de classe et le mis, à peine eut il touché ma peau qu'il s'ancra fermement, comme une deuxième peau.
J'avais l'impression qu'il prenait le contrôle de mon corps et que ma personnalitée était changée.
Pour cette raison et d'autres évidentes comme celle de ma fuite, je décidais de vivre masqué jusqu'au jour où la situation changerait.



Quelques jours plus tard, nous accostions à sufokia, un vieux pêcheur me dévisagea et m'indiqua le chemin du château froidement.
Sur la route du château je fis des rencontres bonnes et mauvaises, je dûs pour les moins bonnes essayer les deux autres masques, je relevais un changement
énorme entre chaque masques portés.
Mais cela, vous le savez, nous autres zobal sommes assez connus maintenant.
Arrivé au château on m'indiqua un restaurant, la Famakna Food, réputé pour sa cuisine et son accueil chaleureux.
C'est pour cela que je me présente devant vous aujourd'hui.
Déterminé par une envie de contact avec d'autres amaknéens et autres habitants du monde des Douzes.
Je suis serviable et dévoué, bien que lunatique je saurais me montrer agréable avec ses dames.. Hem HEM.. et ces messieurs aussi bien entendu.
Je suis chasseur de cercle assez bas. Moins de 10 mais j'y travaille jour et nuit !
Je suis aussi paysan de cercle 45 et boulanger de cercle 100 [ mais mule bloquée à 30 à cause de l'abonnement :/ ]
Je suis aussi bijoutier de cercle 30.

[A propos de moi. HRP]
Je m’appelle Mathieu, j'ai 14ans et je suis né le 12 mai ! (comme Feather !! )
L'année prochaine j'espère entrer en école d’hôtellerie sur Nice.
Oui, Nice est la plus belle ville de France m'voyez u_u¨
Je pratique le rôle-play sur dofus depuis 2 ou 3 ans maintenant et j'ai pratiqué du rôle-play sur forum (high school of the dead).
J'ai connus la famakna en surfant pour trouver une guilde RP sur hyrkul.[/HRP]

En espèrant ne pas vous décevoir, cordialement, Mask'




Mais, vous êtes sûrs que vous voulez pas entendre l'histoire de Fifi ?
*recule devant les cuisiniers armés de couteaux*

D'accords d'accords ! On reste sur cette histoire alors

Merci à ceux qui prendront la peine de lire ce texte.

Pandouf avait épinglé le texte au mur afin de pouvoir le lire tout en faisant la vaisselle. En effet, ce coquin de Lorka avit réussi à touver une excuse pour ne pas la faire, et du coup le vieux patron se retrouvait à nettoyer les plats des 14 menus vendus la veille. Les mains plaines de savons, il griffonna son mot d'aprobation au bas de la page.

!!

Mask', assis dans un coin de canapé, dans l'obscurité, un cigawe à la bouche ou plutôt au masque et un chacha sur les genoux se leva.

-Merci pour ton vote, dois-je prendre le reste pour un compliment ?
-Pandouf je te remercie par la même occasion. Peut-être aurais-tu besoin d'aide pour ta vaisselle ?

[Toussa pour dire en fait que j'ai rajouté une partie à ma candidature, je me suis rendu compte qu'il n'y avait pas de partie hrp sur moi. Voili voilu voilou les foodinous !]

Oui longue vie au Zobals,donc je te donne mon avis:

Très originale,très peu de fautes,pas trop de couleur,la candid' parfaite quoi!

[Don mon avis est un ''pour''.]

Mais biensur ce n'est qu'un avis.Il ne compte pas naturelement.


[Krazanova: Quand on donne son avis, on ne vote pas, donc on ne met pas de "pour" ou de "contre" ]

[Ajout d'un screen car je trouvais le texte vide sans.]

Recruté.