Un petit carnet sous un lit de la Famakna ?

[hrp:Merci de ne pas répondre à ce sujet pour ne rien dire, toutes réponses (rp bien sûr) seront écrite à la suite du carnet et donc lisible par Nyaila, et ça ne ce fait pas d'écrire sur le journal intime d'un autre, sauf, en cas spécial, merci !]

Ha la la ! Fichu journal intime, j'ai du le perdre pendant le voyage ... Bon, tu sera mon nouveau carnet ! Je suis sévère si tu ne protège pas bien ma vie !
Aujourd'hui, c'est le 16 Martalo, 640. Je suis enfin arrivée en Amakna, après avoir traversée le château et ses environs, je suis arrivé à Astrub. Je me suis perdue vers le nord de la ville en cherchant la taverne ... Et c'est ainsi que je me suis retrouvé une vaste pièce avec des drôles de bonshommes habillés de noir et portant un chapeau pointu.
Après quelques phrases de politesse, j'ai demandée où se trouvait donc cette fichu taverne ... Un sram me dit :

"Sud/est"

Puis il disparut dans un nuage de fumée.
En route pour la taverne !

***

J'ouvre enfin la porte de la taverne, au même moment une chaise s'écrasa à mes pieds, tout en projetant des morceaux de bois sur mon visage.
Pas de besoin de réfléchir plus longtemps, ce lieu n'est pas fréquentable ...
Je décide de redescendre au château pour trouver une auberge ci-vi-li-sée !

***

Me revoilà au château, je fait le tour des maison, et c'est là que je remarque un petit panneau :

"Famakna Food" Petit restaurant

Je me précipite sur la porte, et j'entre.
Première impression, c'est calme, un pandawa fixe une table sans sourciller, surement un peu ivre, il est vêtu d'un drôle de chapeau blanc et d'un foulard de la même couleur.
Plus loin, autour d'un table, une Osamodas et un Ecaflip discutent avec agitation.
Après un puissant bonsoir qui attire tout les regards sur moi, sauf celui du pandawa ...
Ils reprirent tous les occupations, sauf l'Ecaflip, qui se prit une baffe de l'Osamette quelques secondes après ...
Ces deux compagnons s'approche de moi, et c'est ainsi que je fit la rencontre de Ninette, et Adanadhel, enfin, je crois.
Je me suis de suite entendue avec Ninette. Son nom me disais quelque chose ... Adanadhel n'est pas méchant, mais, ça ne sert à rien de me séduire, mon coeur est déjà pris.
Après plusieurs minutes de discussions, Ninette me posant de nombreuses questions :

"Tu as de la famille part ici" ,demande t'elle
-"Non non, du moins, pas encore."

La nuit tombe, n'osant pas déranger le pandawa, je décide de chercher un gîte plus loin.

***

Finalement, je rien pas trouvée une auberge semblable.
De retour à la Famakna, il y avait deux personnes. Une belle Sadidette vêtue de rose, et le pandawa de tout à l'heure, qui devait avoir décuvé.
Sans les déranger je monte à l'étage, un belle pièce avec trois lits au fond, chouette !
De nouveau en bas, je demande :

"Je suis de passage ici, serait-il possible de vous emprunter un lit pour la nuit ?"
-"Euh, j'en sais rien ...."
-"Moi non plus"

Ils semblaient embarrassés, je suis donc partie de nouveau à le recherche d'un lit. Si tard la nuit, il ne restait que les bottes de foins ... C'est donc après avoir bien réfléchie, que je me suis introduit en douce dans le restaurant vide, et que je me glisse dans un lit pour cette nuit. Après avoir cherchée dans mes affaires mon ancien journal intime, je t'ai sorti pour raconter ma journée.
Je partirai tôt pour ne pas déranger les aubergistes, je verrai demain soir pour dormir autre part.

Bonne nuit.

Par contre, où je vais pouvoir te ranger ? Je risque de te perdre dans mon sac, tiens, sous le lit, ce n'est pas une mauvaise idée !

Après une nuit et une journée agitée j'ai enfin réussi ce que j'avais à faire, ce bandit n'est plus, et maintenant, je pense m'installer en Amakna, j'ai de trop mauvais souvenirs à Brakmar ... Je vais organiser une petit fête pour l'occasion.
Dommage que Ed n'est plus la ...

J'ai enfin trouvée un gîte, finalement, après avoir longtemps sympathisé, les foodiens m'ont accueillis. Il ne veulent pas d'aide, bhaa, je leur ferai des omelettes d'œuf de tofu demain matin ! Je vais de suite afficher mon invitation ! Puis je vais me coucher, je suis fatiguée par cette journée.

J'ai une mauvaise impression, quelque chose ne tourne pas rond, je n'arrive pas à dire quoi ... Je dois me faire trop de soucis.