Gazette d'Astrub - 10 Novamaire 639
Dissolution de la Secte Maléfique
C'est avec un immense plaisir que la Gazette publie aujourd'hui officiellement la fin de l'Ordre Souverain des Sorceleurs. C'est grâce à la brillante intervantion de la Milice Royale, à la direction du commandant Earlendil que la tristement célèbre secte maléfique dont nous parlons depuis de longs moins à pu être dissoute par les autorités Royales. Il ne restait que peu de membres actifs depuis les récentes poursuites judiciaires mais on pouvait encore compter dans les rangs de l'organisation, le féroce Gorzil Von Flambée et sa soeur la cruelle Hepzibah, ou encore la terrible Hibas-tet. Les Miliciens ont pu coincer ces crimminels et c'est avec joie que le journal vous informe de l'emprisonnement de la redoutée Hepzibah Von Flambée, dite la peste de l'ouest, qui croupie en ce moment mêm dans les géôles Amaknéenne. Pour plus d'information à propos de cette diabolique histoire, nous vous conférons à nos précédents articles. Mais tout, de suite place à la sensationelle interview d'Earlendil en personne, meneur de la Milice Royale et directeur des oppération dans cette affaire !Lydie-Haute : Peut être pourriez vous vous présenter brièvement à nos lecteurs ?
Earlendil : Et bien, je suis un disciple de Feca. On m'a donné le nom d'Earlendil.
Lydie-Haute : Hum.. Mais encore ?
Earlendil : Que dire d'autre...
Earlendil : J'ai longtemps roulé ma bosse, ne sachant que faire. J'ai mené quelques guildes avant des les dissoudre ou de les voir mourir...
Earlendil : Je ne suis pas doué pour parler de moi... peut-etre pourrions nous passer aux questions ?
Lydie-Haute : Avec plaisir
Lydie-Haute : Donc, vous avez réussi à retrouver la piste des dangereux dirigeants, racontez nous tout.
Earlendil : Ah, les Sorceleurs ?
Lydie-Haute : Evidemment Gorzil et sa soeur Hepzibah
Earlendil : Bien, vous ne savez surement pas que lorsque la Semper Paratus était encore debout
Earlendil : Une Haine profonde nous liait
Lydie-Haute : En effet, d'aprés les rumeurs.
Earlendil : C'est donc avec plaisir que j'ai accepté la tache de les enfermer.
Earlendil : Les retrouver n'as pas été simple.
Earlendil : Ces gens sont fourbes, ils disposent d'un réseau très étendu
Lydie-Haute : Normal ils se cachaient tous depuis que le scandale avait éclaté au grand jours (avec mes sublimes articles)
Earlendil : Mais l'appat du gain a eut raison de leur chef.
Earlendil : Nous avons circuler la rumeur que nous avions la VRAIE relique de Sacrieur
Earlendil : Gorzil voulu vérifier, vous pensez
Earlendil : c'est ainsi qu'on lui mit la main dessus, ainsi qu'à sa soeur.
Lydie-Haute : C'est trés judicieux.
Lydie-Haute : Combien d'individu sous vos ordres disposiez vous pour l'oppération ?
Earlendil : Seulement trois.
Earlendil : Honey, Seisui et Elinae.
Earlendil : Nous ne pouvions courrir le risque que nos jeunes recrues soient blessée.
Lydie-Haute : C'est fort peu
Earlendil : Nous sommes peu nombreux de fait.
Lydie-Haute : Honey n'est il pas Mercenaire ?
Earlendil : En effet, c'est ce qui m'a amené à me demander s'il était judicieux de le prendre parmis nous.
Earlendil : Mais c'est un vieil amis et je lui fait entièrement confiance.
Lydie-Haute : Bien
Lydie-Haute : Racontez nous donc cette palpitante oppération !
Earlendil : Alors
Earlendil : En fait, j'ai reçus une lettre anonyme m'informant que les dirigeants de cette secte se trouvaient à Astrub.
Earlendil : Surement un riverain effrayé...
Earlendil : Mais Astrub n'est pas dans notre juridiction, les mercenaires veillent à l'independance de leur ville...
Earlendil : Nous avons donc pensé les attirer, nos plus jeunes recrues ont donc fait courrir le bruit que nous détenions une relique de Sacrieur.
Earlendil : Qu'elle serait cachée dans une maison du port de Madrestam
Earlendil : Les deux larrons, vous pensez, on voulu s'en rendre compte par eux meme
Earlendil : il avait une histoire étrange de reliques, dont certaines seraient divines...
Earlendil : (si je me souviens bien)
Lydie-Haute : C'est exact
Earlendil : Nous avons disposé nos hommes, fort peu nombreux donc, tout autour de la maison
Lydie-Haute : Bien que ce n'est jamais été officiellement prouvé
Earlendil : Elinae fit semblant de monter la garde.
Earlendil : Elle se fit assomer, et les brigands se croyant en sureté entrèrent
Earlendil : Nous n'avions plus qu'à les cueillir
Earlendil : il étaient épuisés par leur cavale
Earlendil : ils n'ont donc meme pas essayé de se défendre.
Lydie-Haute : Merveilleux !
Earlendil : ils séjournent dans les cachots du roi en ce moment.
Lydie-Haute : Mais comme on le sait Gorzil a pu s'échapper
Earlendil : Une information qu'il aurait mieu vallut ne pas réveler
Earlendil : Aucune chance de l'attraper desormais...
Lydie-Haute : Vraiment ? Enfin bon la moitié de la région est au courant
Lydie-Haute : Ne soyez pas si modeste !
Earlendil : Je ne suis pas modeste mais réaliste. C'est peut-etre une crapule mais une crapule intelligente et disposant de nombreux contacts obscurs.
Earlendil : Quoi qu'il en soit nous n'abandonons pas.
Lydie-Haute : Magnifique
Lydie-Haute : Qu'adviendra-t-il d'Hepzibah Von Flambée ?
Earlendil : Elle sera jougée, par notre roi bien aimé.
Earlendil : Ensuite croupir en prison surement.
Lydie-Haute : Vous ne craignez pas une tantative d'évasion ?
Earlendil : C'est possible c'est vrai, mais Elinae veille. Elle n'a pas aimé le coup sur le crâne...
Earlendil : ...très rancunière...
Lydie-Haute : Mais elle aura surement des complices de l'exterieur
Earlendil : Vous ne connaissez pas ma soeur, m'dame. Elle n'aura aucune difficulté à tenir tête à plusieurs personnes le temps que nous arrivions.
Earlendil : Servante d'Osamodas, vous comprennez ?
Lydie-Haute : Hum
Earlendil : Non Hepzibah est en prison et le restera.
Lydie-Haute : Je reste incrédule.. vous savez bien que ces gens manipulent les forces du mal
Lydie-Haute : Hum, votre opinion sur l'affaire ?
Earlendil : Una affaire louche mais les arrestations ont été rondement menées.
Earlendil : Je pense que nous n'avons plus rien à craindre de ces gens.
Lydie-Haute : Hum le grand chef reste néanmoins en fuite
Earlendil : Sans une grande partie de ses sbires, sans sa soeur. Il n'est plus que l'ombre de lui meme.
Earlendil : tout juste bon à se cacher.
Lydie-Haute : On aimerait le croire.
Earlendil : douteriez vous de ma parole ?
Lydie-Haute : Bien sûr que non, votre milice a été merveilleuse
Lydie-Haute : Vous devriez certainement obtenir un avancement je pense ?
Earlendil : Oh non, ma place me convient parfaitement.
Earlendil : Oh mais le temps s'écoule ! Il est l'heure de mon entrevue avec sa Majesté.
Earlendil : Je suis navré de devoir interrompre cet entretiens.
Lydie-Haute : Merci infiniment pour ces précisions !
Earlendil : Je serais ravi de le poursuivre autour d'un diner en votre comagnie.
Earlendil clin d'oeil.Lydie-Haute : A bientôt j'espere, bonne continuation.
Earlendil : Je vous remercie. Vous de même.
Earlendil : Pensez au diner.
Earlendil clin d'oeil.Earlendil : Madame, au revoir.
C'était le commandant Earlendil, chef de la Milice Royale, propios reccueillis par Lydie Haute, rédactrice en chef.La Gazette d'Astrub