Panri, le beau crâ de la FF.

Je me présente, Krazanova.
Je suis le beau crâ Conseiller et serveur à la Famakna Food, bras droit de Pandouf.
Je suis habillé de gris et noir, avec une touche de bleu marine.
Je suis un courtisan maladroit, et je papillonne vers tous les jolis minois que je vois.
C'est plus fort que moi, je ne peux m'empêcher de tenter de séduire...
Je dis bien "tenter", car je collectionne les râteaux à la pelle (non je suis pas jardinier).

Voici ce que ma sœur pense de moi:

Ninette a écrit:: Que je vous parle de mon frère ?

Et bien, il est mignon certes, mais pas très futé. Il se croit irrésistible, mais hélas pour lui, la nature ne l'a pas aussi bien gâté que moi.
Ah ça parler, il sait faire... il a de beaux mots dans la bouche, mais le problème c'est qu'il considère les femmes comme morceaux de viande !

Il faudrait qu'il tombe sur une femme qui l'aimerait comme ça, mais qui arriverait à le mater un peu aussi !

Sinon, c'est un gentil garçon, prêt à tout pour ses amis, ne se laissant pas faire et très têtu !

[Hrp: J'espère que comme ça, le personnage sera assez explicite. Si vous avez des questions, n'hésitez pas !]

Chapitre 1: Naissance et enfance

Dans la ferme "Aux bouftous réunis" la famille est rassemblée à la demande du chef de famille. Sont présent Halloula et son mari Gonzo, et leur fille Ninette âgée de 25 ans, revenue exceptionnellement à la demande de son père.

Gonzo se lève alors au bout de la table, et les femmes font silence.
"Ninette, ma fille" commence t-il d'une voix grave. "Si je t'ai fait venir ici aujourd'hui, c'est pour t'annoncer une bonne nouvelle. Ta mère attend un enfant, et devrait accoucher sous peu."

"Oh mais c'est formidable !" s'écria Ninette. Elle se tourna vers sa mère pour la féliciter, mais cette dernière afficha un drôle de rictus.
"Maman, ça ne va pas ?" s'inquiéta Ninette.
"Halloula, qu'y a t-il ?" demanda Gonzo.
"Le bé... le bé... le bébé arrive !" articula Halloula d'une voix halletante.

Elle s'allongea alors, sa fille et son mari l'aidant, et un instant plus tard, une petite chose rose vu le jour en criant de toutes ses forces.

"Papa, c'est un garçon !" s'écria Ninette.
"Youpi !" hurla Gonzo, fier d'avoir enfin un héritier.

Dès la naissance, le petit Panri souriait déjà aux visages féminins qu'il voyait, et dès que la famille allait dans le village, toutes les petites filles lui courraient après, ce qui était loin de lui déplaire.

Au delà de son charme, Panri développa une adresse exemplaire au tir à l'arc, et apprit à contrôler l'élément omniprésent autour de lui, la terre.
Son père lui appris le travail de la terre également, il était un bon paysan, et savait faire de bon petits pains avec ses farines.

Chapitre 2: Adolescence et malédiction

Panri grandissait, il devenait un magnifique jeune homme.
Ses atouts se développaient, et ses sorties au village étaient loin d'être discrètes tant les jeunes filles l'admiraient.

Conscient de son charme ravageur, Panri, insouciant, commença à séduire une à une toutes les jeunes filles des alentours. Mais un jour, il fit tomber sous son charme une jeune fille qu'il aurait mieux fait de ne pas séduire...

En effet c'était la fille d'une grande sorcière, fidèle à Rushu.
Quand celle ci apprit par la bouche de sa fille comment celui ci l'avait séduite puis laissée tomber juste après, elle entra dans une rage folle. Elle prit l'apparence d'une belle jeune fille pour pouvoir approcher le crâ, et lui demanda ce qui comptait le plus dans sa vie, ce qui lui était le plus précieux.

Ce dernier, après un effort intense de réflexion, déclara:
-"Mon charme m'est précieux, mais je pourrait m'en passer, par contre, je tiens à ma grande sœur Ninette comme à la prunelle de mes yeux. Nos retrouvailles sont à chaque fois un grand moment de bonheur."

Alors la sorcière se désenvouta laissant apparaitre son vrai visage, et cria:
-"Tu as blessé ma fille au plus profond de son être, pour la venger, je te jette une malédiction ! Tu ne pourra désormais plus jamais approcher ta sœur, dès que tu voudras aller la rejoindre elle sera expulsé de l'endroit ! vous ne pourrez plus jamais vous voir ! Mouha ha ha ha !"

Panri s'écroula alors sans un mot, et une larme glissa le long de sa joue...

Chapitre 3: Des champs de Bonta au château d'Amakna

Beaucoup de temps s'était écoulé depuis la rencontre avec la sorcière. Panri et Ninette ne se parlaient plus que par messages laissés sur la table de chevet dans la maison qu'ils partageaient, ou bien par l'intermédiaire d'amis.

Panri ne cessa pas pour autant de papillonner, c'était plus fort que lui...

Mais c'était un bon paysan qui s'échinait dans les champs proches de Bonta, pour ensuite aller moudre ses récoltes.
Avec ses farines, il faisait de bon pains en énormes quantités.
Mais il se sentait seul. Ninette lui avait raconté comment était sa guilde, les Level-up, de fiers combattants soudés comme les doigts de la main. Il avait lui aussi envie de faire partie d'une guilde, mais il était plutôt pacifiste. C'est donc une guilde d'artisan qu'il lui faudrait plutôt.

Alors qu'il allait vendre son pain à Astrub, il entendit parler d'un certain restaurant-guilde, la Famakna Food. Apparemment ce restaurant avait besoin de main d'oeuvre.
Il se renseigna et prit la direction du Château d'Amakna.

Il entra dans la salle vide, et s'approcha du comptoir pour lire les conditions de recrutement.
Il se présenta à eux le soir même.
Il fut accepté de justesse, une eniripsa doutant de son intégrité. Mais finalement, il passa la période d'essai avec brio, et fut accepté en tant qu'artisan d'abord, puis il gagna la confiance du patron qui le promut serveur.
Il su se faire accepté et aimé de tous ses confrères, et quelques mois après, ils le hissèrent au rang de conseiller.

Panri était heureux: des amis, un haut titre, et surtout beaucoup de clientes à séduire !

Chapitre 4: Des clientes à séduire, certes...

Mais Panri, habitué à ce que les filles lui courent après dans son village natal (forcément à peine deux ou trois jeunes hommes pour tout un village, elles n'avaient pas trop le choix) devint imbu de lui mème et crut que son charme était irrésistible.

Mais comme il ne connaissait pas les filles des environs il voulut les connaitre toutes, et évidemment, sur de lui, cru bon de tenter de les séduire.

Le problème, c'est qu'ici, à Amakna, les filles avaient le choix. Alors certes, oui, Panri était plutôt beau, mais ce n'était qu'un paysan et boulanger.
Or les filles d'ici, cherchent toutes des hommes qui puissent les protéger tant il y a de menaces.
Alors avec son malheureux cercle inférieur à 60, Panri n'avait aucune chance...

Mais il ne le savait pas.
Alors il commença à séduire toutes les filles des environs, comme autrefois dans son village natal, à la différence près qu'ici, son charme n'agissait pas. Mais cela était loin de le décourager, aussitôt un échec essuyé, il papillonnait de nouveau vers un autre joli minois.

Mais il était tellement lourd et piètre séducteur, que ses collègues de guilde, pour se moquer gentiment de lui, le surnommèrent "Krazanova".
Panri décida alors d'officialiser ce nom à la Milice d'Amakna.

(modification dans le premier post)

» Panri [paysan, boulanger et alchimiste]