Famakna Food
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 Postulation de Darkterrible

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Darkterrible
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Darkterrible


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MessageSujet: Postulation de Darkterrible   Postulation de Darkterrible Icon_minitimeMer 10 Fév - 20:22

Darkterrible/Bûcheron/Chasseur



Les paysans labouraient les champs dans une chaleur étouffante. Il fallait couper tout le blé pour nourrir le seigneur avant l'arrivée de l'hiver. Les champs étaient situés juste au dessus du village qui appartenait au seigneur Barbe-de-bronze.
La ferme possédait un moulin et un petit bâtiment dont le toit était en paille. Au Sud Est du village, les paysans coupaient du bois pour fabriquer des armes et agrandir les bâtiments. A l’Ouest du camps de bois, se tenait un trou pour récupérer de l’argile. Des rochers demeuraient a l’Ouest de la ferme, ils avaient construit des mines pour en extraire du métal précieux pour la guerre.
Une petite muraille abritait le village de quelconque envahisseur. Pour se rendre aux différents lieux de travail, ils avaient construit des chemins qui partaient de la place central du village et qui arrivaient, en passant par les différentes ouvertures de la muraille, à l’endroit voulu.
A l’intérieure du village demeurait le quartier général, c’était le bâtiment principal, tout le monde dormait en partant des paysans jusqu’au seigneur dans cette humble demeure. A sa droite se dressait une église qui permettait aux villageois religieux de faire leurs prières. Son toit était en argile, des grandes mosaïques décoraient l’intérieur de ce lieu de prières.
A quelques pas en dessous, se tenait la caserne. C’était ici que s’entraînaient les jeunes personnes voulant rejoindre l’ordre de l’infanterie. A sa gauche avait été construit un petit atelier pour fabriquer bélier et catapulte, très précieux pour attaquer un village ennemi. A gauche de ce petit bâtiment demeurait la forge. C’est ici qu’ils forgeaient les armes. A côté de la forge se tenait l’écurie pour apprivoiser et dresser les rares dragodindes.
Au dessus de l’écurie était l’entrepôt qui permettait de stocker la nourriture. A sa droite se tenait le marché qui était indispensable pour échanger de la nourriture avec d’autres villages. Il y avait a gauche du quartier général une cachette qui servait à cacher de nombreuse ressources si un ennemi attaquait. Tous ces bâtiments étaient construits de forme circulaire dont le centre était la place centrale. Au milieu de celle-ci avait été construit une statue pour rendre hommage au seigneur Barbe-de-bronze.
La nuit s’installa rapidement, les étoiles scintillantes de la toison argentée nimbaient les arbres de leur froide lueur. Des cavaliers arrivèrent en passant par la ferme et arrêtèrent leurs dragodinde devant l’entrée Nord Ouest de la muraille. Un homme apparut et les salua puit il leur fit signe de le suivre. Ils allèrent d’abord a l’écurie pour poser leur monture puis ils entrèrent dans le quartier général.
A l’intérieur, il y avait une cheminée qui rendait la pièce chaleureuse. Les nouveaux venus traversèrent la pièce et s‘installèrent dans un canapé de couleur brun foncé qui tranchait singulièrement avec la blancheur de la tapisserie. Un jeune garçon était assis devant la cheminée en tendant ses mains vers les flammes pour se réchauffer. Les trois hommes regardèrent le garçon avec mépris puis ils se levèrent et ils traversèrent le seuil de la porte qui était situé à gauche de l’entrée en la claquant contre le mur. Le garçon laissa couler une larme sur sa joue et il sortit . Il marcha droit devant lui regardant la neige éclairée par le reflet de la lune. Il arriva à la caserne puis il s’arrêta pour regarder les jeunes garçons de son âge s’entraînant au combat pour devenir soldat.
Si seulement je pouvais être avec eux, tapant sur des boucliers, partager avec eux la joie et la tristesse. Mais je ne pouvais pas. Tout le monde me détestait, me regardant avec mépris et me tournait le dos lorsque je leur parlais. Pourquoi font-ils cela ? Pourquoi ils ne m’aiment pas ? Dès ma naissance je demeurais tout seul à marcher, à penser. Je n’avais pas le droit d’apprendre à lire. J’étais écarté de la société, de la vie commune. Je n’avais aucun ami, personne à qui parler.
Dès ma naissance, personne ne me regardait sans avoir de la haine dans les yeux. Je n’avais pourtant rien fait de mal. Je n’avais pas de frère et sœur et je n’avais jamais vu mes parents. Enfin, je ne verrai jamais ma mère car le seigneur Barbe-de-Bronze m’a dit qu’elle avait été poignardée lorsque le village s’était fait attaquer le jour de ma naissance. Mon père était parti du village en apprenant le décès de ma mère.
Les gens pensaient peut- être que j’étais la source de ce malheur mais il y avait autre chose. Autre chose que je ne savais pas. Mais je sentais que je devais le savoir coûte que coûte pour pouvoir vivre avec les autres. Je n’ai pas le choix, je dois aller le demander au seigneur. Tout de suite.
Je fis demi tour, il avait recommencé à neiger et bientôt cela ne sera plus possible de suivre le chemin caillouteux enseveli par la neige. J’entrai dans le quartier général puis je montai les escaliers en marbre qui menaient à la chambre du seigneur. Je frappai à la porte dorée puis une voix grave me répondit :
_<< Entrez >>
Je soulevai la clenche puis j’entrai dans la chambre du seigneur. C’était la première fois que j’entrai dans cette pièce et j’en restai bouche bée. Un grand lit argenté était posé sur un tapis violet. A côté se tenait une table de chevet en bois de noyer finement découpée. La tapisserie était de couleur or. C’était magnifique. Après un long silence je lui dis :
_<< Bonjour mon seigneur, j’aimerais que vous me dîtes pourquoi les personnes ne m’aiment pas depuis que je suis né ? >>

_<< Quoi ! Tu voudrais que je te dise pourquoi nous te détestons ? Nous sommes obligés de t’accorder une place dans notre village mais lorsque tu seras en âge de marcher et de te nourrir tout seul, tu partiras. Mais d’accord je vais te dire pourquoi nous te détestons. A cause de toi nombreux de nos soldats sont morts et aussi des femmes comme ta mère le jour de ta naissance. Pour nous, tu es un désastre, un fléau pour notre village. Ton père est mort, il s’est sacrifié pour me sauver. Tout cela à cause de toi. Personne ne veut de toi, personne ne voulait que tu naisses ni même ta mère. Et mon père, l’ancien seigneur de ce village m’a donné avant de mourir une prophétie. Elle disait qu’une personne de ce village posséderait des pouvoirs surnaturels. Et lorsque les meurtriers qui ont attaqué notre village le jour de ta naissance, lorsqu’ils ont tué ta mère, tu t’es transformé en monstre sanguinaire et tu nous a tous tués sauf quelques- uns. Tu es la personne de la prophétie, mais ton cœur est noir et nous regrettons ta naissance. Nous aurions préféré que cela soit une autre personne possédant le cœur pur. Maintenant sors de ma chambre je t’ai tout dit. >>



Le vent ébouriffait mes cheveux, il faisait froid, trop froid. Je marchai dans la neige, marchant vers le soleil ne sachant où aller. Je n’aurais peut- être pas dû quitter mon village natal. Mais hier soir, lorsque le seigneur m’a dit la vérité je ne pouvais la supporter. Je suis parti ce matin très tôt avant que le soleil ne se dessine sur la prairie enneigée. Je n’ai rien. Je vais mourir. Non il faut que je me trouve un abri puis je vais essayer d’attraper un lapin. Mais je doute que j’en trouve avec toute cette neige. Je n’aurais pas dû partir ce matin, je ne peux pas survivre tout seul en hiver.
Bon, trouvons d’abord un abri. Je courais dans la prairie, mes pieds s’enfonçaient dans la neige qui brillait par le soleil haut dans le ciel. Je ne voyais rien à part les rares fleurs d’hiver et une immense plaine. Puis, je trouvai quelques rochers suspendus en l’air par de la roche. Des stalactites demeuraient sur les rochers. La nuit s’installa rapidement dans un souffle glacial. Je me faufilai en dessous des rochers et je m’allongeai sur la neige froide. Je n’arrivais pas à m’endormir. Je regardais les étoiles qui se dressaient sur la voûte argentée.
Soudain j’entendis des pas et je vis un homme vêtu par des habits en lin blanc qui venait vers moi. Il arriva devant moi, tenant une épée dans sa main droite, et un livre dont les bouts étaient cornés par l’usage dans sa main gauche. Il me dit :
_<< Depuis ta naissance je te surveille. As- tu une raison de vivre ? >>
Cette question me fit mal au cœur, je n’y avais jamais pensé. Je réfléchis puis je lui répondis :
_<< Oui >>
_<< Laquelle ? >>
_<< Les personnes de mon village ne m’ont jamais pardonné le mal que je leur ai fait et ils ne m’ont jamais accepté parmi eux. Je veux leur faire payer cela. Je ne vis que pour ça. Je vais les tuer. >>
_<< Et, tu crois y arriver tout seul ? Je peux t’aider. Tu n’as qu’à me suivre et venir avec moi. Mon village est à deux lieues de là. Tu pourras y dormir et manger. Acceptes- tu ? >>
Je ne m’y attendais pas. Personne ne m’aime et tout le monde me rejette. Tout le monde sauf lui. Je ne pouvais refuser.
_<< J’accepte, je te suivrai jusqu’a la fin de mes jours. >>
_<< Excellent ! >>
Sur ce il me fit signe de le suivre et nous marchâmes en direction de son village.
Quelques minutes plus tard, nous arrivâmes devant un très grand village qui était entouré par des murailles. L’étrange homme qui m’avait accepté comme je suis me dit d’entrer. Lorsque je fus dans le village, je m’aperçus qu’il n’y avait personne. Il n’y avait aucune maison, aucun lieu pour s’abriter ou manger. J’entendis la porte d’entrée qui se refermait, je me retournais et je vis que celui qui m’avait dit de le suivre n’était plus la. J’étais tout seul, il faisait noir et je n’y voyais rien. Quand soudain, des hommes vêtus de noir sortirent de nulle part et m’attachèrent à une corde. J’essayai de me débattre mais ils commencèrent à me frapper et je m’évanouis.
J’ouvris les yeux, j’avais très mal à la tête. J’étais attaché à un poteau et devant moi il y avait quelqu’un, mais je n’arrivais pas à le voir. Le soleil commençait à se lever. L’homme devant moi se leva puis il dit :
_<< Bien, tu travailleras pour moi, tu iras dans le camp des prisonniers et tu travailleras à côté de la prison, au camp d’argile. Ta vie m’appartient désormais >>
_ << Quoi ! Vous m’avez piégé ! Je n’irai pas dans la prison. >>
_ << Qui t’a demandé ton avis >>
Puis il disparut. Des hommes arrivèrent et m’emportèrent à l’autre bout du village jusqu’à la prison. Ils m’enfermèrent dans une cellule très petite où je pense qu’ un grand homme ne pourrait même pas écarter les bras. Il n’y avait pas que moi dans cette prison. Je collai mon nez au barreau puis je regardai dans les autres cellules. Je devais être le plus jeune même si à cause de l’obscurité je ne voyais pas grand-chose.
Je me réveillai puis j’observai ma cellule. Elle me semblait encore plus petite que la veille. Il y avait un petit matelas en guise de lit, il n’était pas du tout confortable. Le soleil était déjà haut dans le ciel. Je m’approchai de la petite ouverture dans la cellule et je vis quelque chose d’effroyable. Des personnes torse - nu travaillaient sans relâche en frappant une pierre avec une pioche. Leur pied était attaché à une boule de métal très lourde qui empêchait tout déplacement. Les personnes qui étaient dans mon village natal disait que j’avais un cœur de pierre mais même un cœur de pierre peut se casser à la vue d’une telle cruauté.
Des hommes arrivèrent puis ils ouvrirent la porte de ma cellule. Ils m’entraînèrent sans dire un mot jusqu’à l’endroit que j’avais aperçu depuis ma cellule. Un des hommes dit :
_ << Allez, tu es le plus jeune mais ce n’est pas pour ça que tu ne dois pas travailler. Prend cette pioche et vas là- bas, un rocher t’attend. >>
Sur ce, je dus m’installer devant un gros rocher. Je pris une pioche et un homme m’attacha le pied à la boule de métal qui était à côté de moi. Je me mis au travail. Pour moi, il était impossible de casser cette énorme pierre. Les autres prisonniers peinaient à faire leur tâche habituelle, leur visage était marqué par la tristesse de leur cœur. Il faisait très chaud, trop chaud.
Je ne sais pas combien de temps il fallait que je travaille mais c’était vraiment très dur. Un homme nous surveillait. Le plus vieux des prisonniers commença à chantonner, puis tous les esclaves chantèrent en chœur avec la même voix profonde de la tristesse et du désespoir. Je me concentrai pour écouter les mots :

Ensemble nous chantons
Ensemble nous travaillons
Ensemble nous vivons
Ensemble nous mourrons

Nous n’avons pas la même peau
Nous n’avons pas les mêmes mots
Nous ne sommes pas des animaux
Et nous sommes tous égaux

Nous les désespérés
Aujourd’hui nous sommes à vos pieds
Demain nous serons à vos côtés
Pour rétablir la paix

La chanson fut arrêtée par l’homme qui surveillait, il donna des coups de fouet à tous les prisonniers qui avaient chanté, en commençant par celui qui avait chantonné cette chanson. Puis, tout redevint calme, plus personne n’osa chanter. Les minutes passèrent et je commençai à avoir faim. Plusieurs hommes arrivèrent pour apporter de la nourriture. Chacun avait une tranche de pain et un verre d’eau. Je comprenais maintenant pourquoi les prisonniers étaient tous très minces. Après ce maigre repas terminé, je continuai à travailler.
Le soleil était maintenant très bas, l’obscurité commençait à se montrer, les prisonniers sourirent à la vue des hommes qui arrivèrent. Ils nous entraînèrent à notre cellule respective. Devant ma cellule demeurait le plus vieux des esclaves, celui qui avait commencé à chantonner la chanson. Je lui demandai :
_ << Combien de temps es-tu ici ? >>
Il me répondit en me regardant avec attention :
_ << Cela fait maintenant plus de quarante ans. >>
J’était choqué. Comment a-t-il pu survivre à vivre ici pendant quarante ans ? Moi, un jour, cela me suffit amplement. Je voulais en savoir plus alors je poursuivis la discussion :
_ << Pourquoi es-tu ici depuis quarante ans ? >>
_ << Parce que je me suis battu. Je me suis battu pour l’égalité et voila ce que ça donne. Mais je ne regrette rien, j’ai fais ma vie comme je le voulais et lorsque je sortirais enfin de cette prison, je reprendrais là ou je m’étais arrêté. N’oublie pas cela : je suis le maître de mon destin, je suis le capitaine de mon âme. >>
Je me tus. Après être enfermé pendant quarante ans dans une cellule, il ne veut pas de vengeance. C’est impossible. Mais c’est peut être comme ça que j’aurais dû me comporter. Je ne sais même pas en quoi je me suis transformé quand j’étais petit. Cela se trouve que ce n’était qu’un tissu de mensonges. Je m’allongeai sur le matelas, épuisé, en pensant à ce que venait de me dire cette personne.
Les jours passèrent, je travaillais sans relâche, épuisé à chaque fin de journée. Il n’y avait aucun changement, tout était monotone. Je commençais à m’habituer à cette vie de prisonnier. Mais ce n’était pas une vie, c’était un enfer. Il fallait que cela change. Ce matin j’étais prêt, j’allai dire ce que j’avais dans le cœur. Je me rendis au camps de travaille, je saluai tous les autres prisonniers puis je commençai mon travail. Au bout de quelques instants, je lâchai ma pioche, tout le monde me regarda, surtout l’homme qui nous surveillait.
C’était le moment, je dis :
_ << Je veux changer le monde, je dois changer le monde, je vais changer le monde. >>
Cette fois, tout le monde me regarda avec plus d’attention, l’homme qui surveillait s’approcha. Je devais vite encourager les prisonniers à se rebeller.
_ << Mes frères, ne voulez vous rien faire ? Ne voulez vous pas changer votre vie ? Ceci n’est pas une vie, c’est un enfer. Nous devons faire quelque chose. Quelqu’un parmi nous est ici depuis quarante ans, tout ce temps gâché, nous devons agir, nous devons nous rebeller ! >>
Tous les prisonniers recommencèrent à chanter la chanson, mais cette fois, je chantai avec eux. L’homme arriva, il me fouetta mais je n’en avais que faire. J’avais dis ce que je voulais dire. J’étais satisfait. L’homme détacha mon pied de la boule de métal, il m’emmena jusqu’à un temple. A l’intérieur, il y avait des vieilles tapisseries, un trône demeurait au milieu de cette pièce.
Un homme était assis dessus. C’étais celui qui m’avait menti, qui m’avait piégé. L’homme qui me tenait alla échanger quelques mots. L’homme sur le trône se leva, il me prit par le bras puis il m’emmena à l‘extérieur. Il me déposa sur une table en bois, m’attacha avec de la corde, puis déposa ma tête sur un espace de la table qui était délimité avec de la craie blanche. J’avais un mauvais pressentiment. Tous les prisonniers étaient là, ils me regardaient avec un regard rempli de tristesse. J’aperçus le vieil homme qui avais fait basculer ma vie. Beaucoup d’hommes étaient habillés en noir, c’était les serviteurs de celui qui m’avait trahi pour m’emmener en enfer.
Un grand homme arriva, il était masqué et il tenait une hache. Une hache … J’avais un très mauvais pressentiment Mon cœur battait la chamade, l’homme s’approcha, il leva sa hache. Je criai :
_ << Je suis le maître de mon destin, je suis le capitaine de mon âme ! >>
Je fermai mes yeux, la mort s’approchait. L’homme leva de plus belle sa hache. C’était les dernières secondes de ma vie.
Soudain, il y a eu du bruit, je rouvris mes yeux et je vis des hommes à dos de dragodinde. L’homme qui tenait sa hache s’était écroulé, une flèche planté dans son cœur. Un des hommes qui venaient d‘arriver me détacha puis il me fit signe de partir rejoindre les prisonniers qui courraient en direction de la sortie. Sans me poser de questions, je lui obéis.
Quelques minutes plus tard, tout le monde se regarda pour voir les survivants, il y avaient tout le monde sauf un de nos sauveurs car ils étaient six et là il n’y en avait plus que cinq. Il manquait aussi le vieil homme. Je me retournai pour voir à l’intérieur du village mais il y avait trop de fumée.
Nos cinq sauveurs nous fiment signe de les suivre. Quelques minutes plus tard, nous arrivâmes devant une maison. Il y avait au dessus de l’entrée, un emblème représentant un poisson. Nous entrâmes à l’intérieur puis nos cinq sauveurs échangèrent des mots avec les autres personnes présentes dans la pièce. Un des hommes dit :
_ << Écoutez moi. J’avais envoyé six personnes pour vous secourir. Vous n’êtes que cinq à être revenus. Où est le sixième ? >>
Un des cinq hommes répondit :
_ << Il ne doit pas être très loin. Il devait s’occuper du plus vieux des prisonniers, ils ne vont pas tarder à revenir. >>
Silence. Tout le monde regardait l’extérieur.
Soudain, on entendit du bruit, une dragodinde arriva, portant sur son dos un homme et le vieux prisonnier. Je poussai un soupir de soulagement. L’homme qui devait être le sixième sauveur dit :
_ << Désolé pour le retard, ma dragodinde a fait une petite crise, elle ne voulait plus marcher. >>
Un homme répondit ( il devait être le chef ) :
_ << Bien, maintenant que tout le monde est là, nous allons vous demander des informations. >>
Puis il demanda le nom à tous les anciens prisonniers. Quand ce fut mon tour, je ne savais que dire. Je réfléchis puis finalement je dis :
_ << Je ne sais pas mon vraie nom. Les personnes de mon village ne m’ont jamais accepté et ils m’appellaient Darkterrible. >>
Le chef me demanda :
_ << Aimes-tu ce nom ? >>
_ << Non. >>
_ << Alors tu n’as qu’à en choisir un par toi-même. >>
Je réfléchis. Je trouvais ça difficile de choisir son nom en quelques secondes. Après quelques minutes de réflexion, je répondis :
_ << Alors je m’appellerais Invictus. >>
Tout le monde acquiesça.
Puis, une fois que toutes les questions furent posées, le chef dit :
_ << Maintenant, vous devez poursuivre votre vie par vous-même. Pour ceux qui voudront nous rejoindre, nous sommes la Famakan Food. Je vous donnerai nos coordonnée car nous allons enménager ailleurs. Bon voyage ! >>

Tout le monde applaudit. Je suis aller chercher le papier sur lequel était marqué les coordonnées car j’avais très envie de les rejoindre. Et puis, c’est moi qui choisis ce que je veux faire dans ma vie car je suis le maître de mon destin, je suis le capitaine de mon âme.
Quelques jours plus tard, me voila donc devant le restaurent de la Famakan Food, tenant une fourchette dans ma main gauche et une plume dans ma main droite pour postuler.



Voila ma grosse histoire. J’espère qu’elle vous plaira. J’ai essayé d’espacer les phrases pour vous faciliter la lecture.


Concernant les métiers, j’ai plusieurs personnages et donc plusieurs métiers :

- Darkterrible : bûcheron niveaux 30, chasseur niveaux 7
- Darkhabile : alchimiste niveaux 30
- Darkpapimineur : mineur niveaux 7
- Darksoigne : pêcheur niveaux 3
- Darkpoupe : cordonnier niveaux 17
- Mathieuprotecteur : paysan niveaux 30, boulanger niveaux 30 et bijoutier niveaux 13
Pour l’instant, je ne suis plus abonné donc mes métiers ne peuvent pas dépasser le niveaux 30.

/Irl/

J’habite en Normandie, je suis toujours de bonne humeur, je suis petit avec les cheveux roux et j’ai 12 ans pour le moment. Mes passions sont : jouer au football, au tennis et bien sûr jouer avec mes potes.
J’adore écrire des histoires comme vous avez pu le constater.
Je félicite ceux qui ont réussi à tout lire car je m’en suis donné à cœur joie. Je crois sincèrement que c’est la plus longue et l’histoire la plus réussie que j’ai faite de toute ma vie. Mais cela m’a pris beaucoup de temps et surtout beaucoup de motivation, mais je pense que ça en valait la peine car j’ai très envi d’intégrer la Famakna Food.
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Krazanova
Ancien Foodien
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Krazanova


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Phrase favorite : En plein coeur!
Humeur : Charmeur
Passe temps : Faire raler Pandouf en l'appelant Patron !
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MessageSujet: Re: Postulation de Darkterrible   Postulation de Darkterrible Icon_minitimeMer 10 Fév - 20:28

Tu te moques de moi ?
Les règles sont les règles, et d'autant plus que tu me mp pour me demander al date a laquelle tu peux retenter ta chance, tu ne respecte même pas ce que je t'indique !

Je lock, désolé.
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Postulation de Darkterrible
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